Je sais pas ce que j'ai foutu, mais ça fait plus d'un mois que je me suis tapé les 6 films de la saga des Rocky et j'ai completement oublié d'en parler...
Donc...
Rocky de John G. Avildsen
Le film qui a mis Sylvester Stallone sur orbite, bien que celui-ci ait bataillé sec pour avoir le rôle, refusant même de vendre son scenar s'il ne figurait par au casting. Un scenario simple et poignant, sur un mec lambda choisi au hasard pour rencontrer le champion du monde de boxe.
Rocky II de Sylvester Stallone
Suite directe du film précédent, où Stallone profite du personnage qu'il a crée pour en fait faire un paralelle avec sa propre vie et son statue de star montante. Assez impressionnant de voir la lucidité dont fait preuve l'Etalon Italien quant à sa propre carrière.
Rocky III de Sylvester Stallone
Bon à partir de là, ça part un peu en couille, même si ça reste du bon entertainment. Stallone continue son analyse de sa situation, et révèle au passage celui qui deviendra Barracuda dans L'agence tout risque...
Rocky IV de Sylvester Stallone
Là, ça part dans tous les sens, la serie perd de sa subtilité pour n'être d'une suite de combats plus spectaculaires les uns que les autres...
Rocky V de John G. Avildsen
Certainement le plus mauvais de la serie. Je me suis carrement passé des passages en acceleré tellement je m'emmerdais...
Rocky Balboa de Sylvester Stallone
Le choc, comme pour un bon nombre de personnes. Stallone, ex-star d'Hollywood, entré dans l'inconscient collectif comme un tas de muscle sans cervelle, refait surface avec le personnage qui l'a rendu celebre, et ça fait mal. L'Etalon Italien fait ici preuve d'une maitrise parfaite de son histoire, alletant entre la nostalgie et l'emotion, tout en faisant le point sur sa situation personnelle (Rocky, c'est definitivement lui). Vraiment touchant et impressionant.
dimanche 13 avril 2008
PEUR BLEUE
Les seigneurs de la mer (Sharkwater) de Rob Stewart
Documentaire assez impressionant sur ce qu'il est en train d'arriver au requin, mammifère marin connu et craint des 3/4 de la population mondiale, et qui, petit à petit, devient une espèce en voie de disparition.
Rob Stewart, passionné par la bête depuis sa plus tendre enfance, lui a consacré sa vie, et profite de son film pour tirer une sonnette d'alarme (la disparition du requin aurait des conséquences catastrophiques sur l'eco-système) et tenter de remettre les choses au clair quant à la reputation de monstre que se traine le bestiau depuis des siècles (en gros, le requin n'attaque l'homme que par curiosité, et non pour se remplir le bide, et c'est super rare).
Un film à voir, donc, mais ça fait grave mal au coeur par moments...
Les seigneurs de la mer (Sharkwater) de Rob Stewart
Documentaire assez impressionant sur ce qu'il est en train d'arriver au requin, mammifère marin connu et craint des 3/4 de la population mondiale, et qui, petit à petit, devient une espèce en voie de disparition.
Rob Stewart, passionné par la bête depuis sa plus tendre enfance, lui a consacré sa vie, et profite de son film pour tirer une sonnette d'alarme (la disparition du requin aurait des conséquences catastrophiques sur l'eco-système) et tenter de remettre les choses au clair quant à la reputation de monstre que se traine le bestiau depuis des siècles (en gros, le requin n'attaque l'homme que par curiosité, et non pour se remplir le bide, et c'est super rare).
Un film à voir, donc, mais ça fait grave mal au coeur par moments...
jeudi 10 avril 2008
SEA,SEX AND SUN... OU PRESQUE
Les Randonneurs à St-Tropez de Philippe Harel
Ah, je m'en souviens comme si c'était hier, un soir où je dormais chez mon frangin, du temps où il habitait encore Strasbourg, et moi pas encore, il y a presque 10 ans. Ce soir là, on avait loué un film, et ce film, c'était Les Randonneurs. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts, grand frère est marié, a 2 enfants et vit à Erstein, moi, j'habite à Strasbourg et je suis rentré dans la vie active... 10 ans dans la vie de Cora, Nadine, Louis et Mathieu n'auront pas eu le même impact vu qu'ils n'ont pratiquement pas changé depuis la fin du premier film.
LES RANDONNEURS A ST-TROPEZ nous fait donc retrouver nos 4 touristes, anciennement adeptes de vacances sportives, maintenant proches de la quarantaine, et pourtant, comme dit plus haut, rien n'a changé. Nadine sors toujours avec des hommes mariés, Mathieu est toujours aussi branleur, Cora n'est toujours pas heureuse malgré son mariage et Louis est toujours aussi coincé.
Sans retrouver la fraicheur du premier film, la nouvelle peloche de Phlippe Harel a simplement le merite de faire passer un moment sympa, avec des personnages attachants, certes, mais des situations qui ne collent pas vraiment au ton qu'on connaissait auparavant (ce qu'est devenu le personnage de Poelvoorde, la fin un peu chelou). Reste Benoît Poelvoorde, égal à lui-même, et clairement mon acteur francophone fetiche (je crois bien être aller voir tous ses films au cinoche, du moins depuis 10 ans).
Un peu déçu, quoi...
Les Randonneurs à St-Tropez de Philippe Harel
Ah, je m'en souviens comme si c'était hier, un soir où je dormais chez mon frangin, du temps où il habitait encore Strasbourg, et moi pas encore, il y a presque 10 ans. Ce soir là, on avait loué un film, et ce film, c'était Les Randonneurs. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts, grand frère est marié, a 2 enfants et vit à Erstein, moi, j'habite à Strasbourg et je suis rentré dans la vie active... 10 ans dans la vie de Cora, Nadine, Louis et Mathieu n'auront pas eu le même impact vu qu'ils n'ont pratiquement pas changé depuis la fin du premier film.
LES RANDONNEURS A ST-TROPEZ nous fait donc retrouver nos 4 touristes, anciennement adeptes de vacances sportives, maintenant proches de la quarantaine, et pourtant, comme dit plus haut, rien n'a changé. Nadine sors toujours avec des hommes mariés, Mathieu est toujours aussi branleur, Cora n'est toujours pas heureuse malgré son mariage et Louis est toujours aussi coincé.
Sans retrouver la fraicheur du premier film, la nouvelle peloche de Phlippe Harel a simplement le merite de faire passer un moment sympa, avec des personnages attachants, certes, mais des situations qui ne collent pas vraiment au ton qu'on connaissait auparavant (ce qu'est devenu le personnage de Poelvoorde, la fin un peu chelou). Reste Benoît Poelvoorde, égal à lui-même, et clairement mon acteur francophone fetiche (je crois bien être aller voir tous ses films au cinoche, du moins depuis 10 ans).
Un peu déçu, quoi...
lundi 7 avril 2008
NO FUTURE

Doomsday de Neil Marshall
Neil Marshall a réussi, en l'espace de seulement 2 films - Dog Soldiers, toujours pas vu, et The Descent, une des plus grosse flippe des dernières années, a se faire une notoriété au sein de la communauté geek. Attendu comme le messie, son nouveau film tient ses promesses... et, quelles promesses !!!
Présenté comme un gros pot pourri du cinema que Marshall affectionnait dans les années 80, DOOMSDAY est clairement séparé en 3 parties : la première est un décalque du Escape from New-York de Carpenter, montrant comment l'Ecosse s'est retrouvée mise en quarantaine suite à l'apparition d'un virus meurtrier, et comment 30 ans après, alors que le virus refait surface au coeur de Londres, le gouvernement envoie une equipe (Eden Sinclair, mix improbable en Snake Plissken et Elle Ripley, et sa team qui rappelle vaguement celle d'Aliens) chercher un eventuel vaccin au-delà de ce nouveau mur d'Hadrien, le problème, c'est que les survivants sont un peu chtarbés. La seconde partie, hommage à Excalibur de John Boorman, présente une autre partie des survivants écossais, revenus à un mode de vie medieval (ce qui donne lieu à des scènes de malade, comme un chateau attaqué à coup de grenades...). La dernière partie offre, quant à elle, une course poursuite digne de Mad Max 2, le tout se concluant par un plan final proche de l'esprit Conan... Tout un programme, donc, qu'il ne faut surtout pas prendre au premier degré, sous peine de passer 2 heures à soupirer et secouer la tête tant Marshall part parfois dans des delires extrêmes (le lapin, la scène de cannibalisme).
C'est donc en gros geek que je suis, que je considère déjà DOOMSDAY (nan mais rien que le titre pète déjà sa race !!!) comme un film culte en devenir, même s'il n'est pas parfait (des longueurs, parfois) et qu'on peut lui reprocher un bon nombre de trucs (le fait de manquer d'originalité, surtout)... Moi, j'ai surkiffé la majeure partie du metrage (notamment le bad guy, punk cannibale, charismatique en diable et adepte de french cancan (je parlais de second degré plus haut, c'était pas pour raconter du vent), qui a déjà une place dans ma dvdthèque, à côté de The Descent.
Mon coup de coeur du mois ! (ça me fait penser que j'avais pas préciser mes coups de coeur des mois précédents... donc : février - John Rambo et mars - There will be blood)
CAFE ET CIGARETTES

J'ai toujours rêvé d'être un gangster de Samuel Benchetrit
Petit film à sketchs (un braqueur s'attaque à une cafeteria sans être armé, 2 gus lambdas kidnappent une ado suicidaire, 2 chanteurs populaires se disputent une chanson volée 30 ans avant, 5 vieux braqueurs tentés par un dernier casse) tourné en noir et blanc (pellicule devenue quasi introuvable à l'heure actuelle), J'AI TOUJOURS REVE D'ETRE UN GANGSTER fait partie de ces films qui font plaisir à voir dans le paysage français. Pas super original (le dialogue entre Bashung et Arno fait penser à une version française du sketch de Jim Jarmush avec Iggy Pop et Tom Waits dans Coffee and Cigarettes), mais suffisament bien ecrit pour que le spectateur sorte le sourire au lèvres.
Mention speciale au casting, entre Edouard Baer, l'enorme Bouli Lanners, la jolie Anna Mouglalis et le quintet de septuagenaires très en formes, tous très justes et sobres, et la bande originale.
samedi 5 avril 2008
Yatta !!! 2
Histoire de faire le point sur mes lectures nippones...
- Naruto - Tome 34 (le 35 est sorti hier... bizarrement, je l'ai pas encore...)
- Berserk - Tome 24
- Fullmetal Alchemist - Tome 16
- Yakitate Ja-Pan !!! - Tome 15
- Death Note - Tome 8
J'ai aussi, grâce à eBay et la librairie KaoBang (et aussi 3-4 mecs sur des sites comme Priceminister...), pu me procurer la totale de la parution de J'ai Lu du manga Jojo's Bizarre Adventure (un truc completement barré qui suit l'histoire de plusieurs membres d'une famille sur plusieurs générations, chacun étant lié aux autres par un même fil conducteur), dont l'editeur precedement cité a arrêté la publication avant la fin (au tome 46 pour être précis) et qui est totalement introuvable en neuf... il me manque que le dernier (le 46, introuvable à moins de... 50 €) et c'est frustrant. Pour l'instant j'en suis au Tome 31 et j'arrive plus à avancer, sans doute le fait de m'être enchainé 30 tomes sans m'arrêter...
Quel interet de lire un truc dont la fin ne sera jamais publié ? Que nenni ! Tonkam a eu la bonne idée de reprendre la publication là où J'ai lu s'était arrêté... mais avant faut que je trouve ce foutu Tome 46 !
Autre nouvelle serie, Wilderness (Tome 3), soit du polar en manga. Fun et bien foutu, on a parfois un peu trop l'impression de lire un film d'action...
- Naruto - Tome 34 (le 35 est sorti hier... bizarrement, je l'ai pas encore...)
- Berserk - Tome 24
- Fullmetal Alchemist - Tome 16
- Yakitate Ja-Pan !!! - Tome 15
- Death Note - Tome 8
J'ai aussi, grâce à eBay et la librairie KaoBang (et aussi 3-4 mecs sur des sites comme Priceminister...), pu me procurer la totale de la parution de J'ai Lu du manga Jojo's Bizarre Adventure (un truc completement barré qui suit l'histoire de plusieurs membres d'une famille sur plusieurs générations, chacun étant lié aux autres par un même fil conducteur), dont l'editeur precedement cité a arrêté la publication avant la fin (au tome 46 pour être précis) et qui est totalement introuvable en neuf... il me manque que le dernier (le 46, introuvable à moins de... 50 €) et c'est frustrant. Pour l'instant j'en suis au Tome 31 et j'arrive plus à avancer, sans doute le fait de m'être enchainé 30 tomes sans m'arrêter...
Quel interet de lire un truc dont la fin ne sera jamais publié ? Que nenni ! Tonkam a eu la bonne idée de reprendre la publication là où J'ai lu s'était arrêté... mais avant faut que je trouve ce foutu Tome 46 !
Autre nouvelle serie, Wilderness (Tome 3), soit du polar en manga. Fun et bien foutu, on a parfois un peu trop l'impression de lire un film d'action...
vendredi 4 avril 2008
Pumping up the stereo !!!! 2
Pas moins de 3 disques que j'attendais impatiement sont sortis quasi-simultanement...



le 25.03
SUPERGRASS
DIAMOND HOO HA (j'adore le titre et la pochette)
Le quatuor anglais se renouvelle en s'approchant d'un son proche du Bowie des 70's, certes, mais peine à retrouver les fulgurances de leur débuts... I should Coco et Supergrass (2 albums cultes) sont quand même loins, maintenant. J'ai encore du mal à donner un avis definitif vu que je l'ai pas encore écouté des masses...
le 31.03
R.E.M.
ACCELERATE14e album studio du trio Athenien et, que dire, ce disque a tout pour rendre heureux le fan que je suis. Après le mythique Up, premier album du groupe devenu un trio, la bande à Michael Stipe avait sorti (sans compter les 2 best of et le live), avec Reveal et Around the Sun, 2 albums qui ne leur ressemblaient pas vraiment, et d'où on ne pouvait tirer que quelques chansons sympatoches, sans plus. On avait l'impression que le départ de Bill Berry avait en fait fait plus de dégats qu'il ne paraissait... jusqu'à aujourd'hui. Produit par Jacknife Lee, Accelerate renoue avec le son des premiers albums du groupe (Lifes rich pageant, Document...), beaucoup plus rock. Même le voix écorchée de Stipe donne l'impression que le disque a été enregistré il y a plus de 20 ans. Les chansons ne sont pourtant pas des plus accessibles, il m'a fallu plusieurs écoutes avant de me dire que j'étais en train d'écouter une pure bombe (la première lecture du CD a d'ailleurs été catastrophique pour moi, j'avais le sentiment que l'album n'avait rien du revival annonçé par la presse spécialisée).
Il me tarde de revoir ça sur scène !
MOBY
LAST NIGHTLes 2 précédents opus de l'arrière petit neveu du gus qui a écrit Moby Dick étaient bons (surtout Hotel), mais n'avaient rien de surprenant... Moby délaissait au fur et à mesure les samples qui faisaient la force de Play et se concentrait davantages sur ses propres talents de chanteur et de musicien. Pas surprenant que j'ai dis ? Last Night prend clairement à contre pied ce que je viens de dire... Ici, pas une seule fois notre ami chauve et végétarien ne pousse la chansonette, et revient complètement à ses premiers amours : le mix, et c'est tout ce qui constitue cette galette estampillée "années 80/90". Moby nous livre ici sa déclaration d'amour à cette periode qui a fait de lui ce qu'il est aujourd'hui, et ça fait plaisir ! Là aussi, je suis impatient de voir ce que ça va donner en live.
2008, Jour n° 95
Bah, disons que ça faisait un moment que je faisais que de parler des films que j'avais vu et que j'avais pas donner de mes nouvelles. Donc...
- j'ai démissioné du Moozé, pour, après une petite semaine de glandage, enchaîner avec le restaurant du golf d'Illkirch, experience qui ne s'est pas avéré concluante vu que j'ai été remercié après seulement 8 jours (mais c'est pas ma faute, c'est le monsieur, il est pas comme tout le monde...) ! Et seulement 2 jours après m'être fait jeté (quel bonheur de bosser dans ce milieu foisonant de demande qu'est la restauration !), j'ai eu l'occasion de faire un essai au Pont des Vosges, brasserie situé au bout de l'avenue des Vosges et ayant une bonne réputation... L'essai est encore en cours, j'aurai une reponse dans les jours à venir, mais je me fais pas trop de soucis...
- dans le but de faire le trajet de chez moi au golf, je me suis offert un splendide vélo de chez Decathlon... juste quelques jours avant de me faire jeter. Pas grave, il me sert maintenant à économiser 10 minutes pour aller au Pont des Vosges, ou pour aller voir mes parents (une vingtaine de bornes...)
- j'ai eu la joie de rentrer un soir et de découvrir que mon chat boitait. Direction le veto un samedi soir en plein week-end de Paques, par chance il y avait quelqu'un, mais pour fermer la porte au ouvriers qui refaisaient la peinture de la clinique, le bon docteur, sosie parfait de Kamel Ouali, a accepté de s'occuper de mon chat. Coût de la manoeuvre : 150 € pour un pauvre os cassé... Aouch !
- Marie-So est partie aujourd'hui même aux Antilles avec sa famille, pour 2 semaines. En rentrant, elle devrait enfin emménager chez moi...
- j'ai décidé cette semaine, enfin si je peux m'arranger avec le boulot, que début juillet je me fais le festival de Werchter en Belgique (au programme : R.E.M., The Hives, Beck, Radiohead, Moby, les Chemical Brothers, Mika, The Verve, Neil Young, Underworld et bien d'autres...). Je prie pour que ça marche !!!
- j'étais à découvert... (ça, c'est de l'info...)
- ...
- j'ai démissioné du Moozé, pour, après une petite semaine de glandage, enchaîner avec le restaurant du golf d'Illkirch, experience qui ne s'est pas avéré concluante vu que j'ai été remercié après seulement 8 jours (mais c'est pas ma faute, c'est le monsieur, il est pas comme tout le monde...) ! Et seulement 2 jours après m'être fait jeté (quel bonheur de bosser dans ce milieu foisonant de demande qu'est la restauration !), j'ai eu l'occasion de faire un essai au Pont des Vosges, brasserie situé au bout de l'avenue des Vosges et ayant une bonne réputation... L'essai est encore en cours, j'aurai une reponse dans les jours à venir, mais je me fais pas trop de soucis...
- dans le but de faire le trajet de chez moi au golf, je me suis offert un splendide vélo de chez Decathlon... juste quelques jours avant de me faire jeter. Pas grave, il me sert maintenant à économiser 10 minutes pour aller au Pont des Vosges, ou pour aller voir mes parents (une vingtaine de bornes...)
- j'ai eu la joie de rentrer un soir et de découvrir que mon chat boitait. Direction le veto un samedi soir en plein week-end de Paques, par chance il y avait quelqu'un, mais pour fermer la porte au ouvriers qui refaisaient la peinture de la clinique, le bon docteur, sosie parfait de Kamel Ouali, a accepté de s'occuper de mon chat. Coût de la manoeuvre : 150 € pour un pauvre os cassé... Aouch !
- Marie-So est partie aujourd'hui même aux Antilles avec sa famille, pour 2 semaines. En rentrant, elle devrait enfin emménager chez moi...
- j'ai décidé cette semaine, enfin si je peux m'arranger avec le boulot, que début juillet je me fais le festival de Werchter en Belgique (au programme : R.E.M., The Hives, Beck, Radiohead, Moby, les Chemical Brothers, Mika, The Verve, Neil Young, Underworld et bien d'autres...). Je prie pour que ça marche !!!
- j'étais à découvert... (ça, c'est de l'info...)
- ...
CRIMES FARPAITS
Crimes à Oxford (The Oxford Murders) de Alex de la Iglesia
Y a un pays pas loin de chez nous, et malheureusement, à part une poignée de geek, personne semble être au courant qu'il regorge de génies purs (ah si, pardon, j'oubliais Almodovar...). Ce pays, c'est l'Espagne, et il abrite la crème du cinema fantastique. Parmis ces genies, il y a Alex de la Iglesia, l'homme derrière Le crime farpait, Mes chers voisins, Le jour de la bête et bien d'autres encore, mais j'ai pas encore eu l'occasion de tous les voir (honte à moi).
Ayant l'ambition de réaliser une adaptation live des aventures de Blake et Mortimer, le gros Alex a d'abord préféré s'atteler à un coup d'essai en réalisant un premier film en langue anglaise. Reunissant Frodo Baggins et John Hurt sur un scenario passionnant, mais au final pas si extraordinaire, de la Iglesia reussit son coup grâce à un rythme entrainant et une ambiance glauque (et d'avoir eu la bonne idée d'embaucher la jolie Leonor Watling).
Et donc son prochain film, c'est Blake et Mortimer... Vivement !
Crimes à Oxford (The Oxford Murders) de Alex de la Iglesia
Y a un pays pas loin de chez nous, et malheureusement, à part une poignée de geek, personne semble être au courant qu'il regorge de génies purs (ah si, pardon, j'oubliais Almodovar...). Ce pays, c'est l'Espagne, et il abrite la crème du cinema fantastique. Parmis ces genies, il y a Alex de la Iglesia, l'homme derrière Le crime farpait, Mes chers voisins, Le jour de la bête et bien d'autres encore, mais j'ai pas encore eu l'occasion de tous les voir (honte à moi).
Ayant l'ambition de réaliser une adaptation live des aventures de Blake et Mortimer, le gros Alex a d'abord préféré s'atteler à un coup d'essai en réalisant un premier film en langue anglaise. Reunissant Frodo Baggins et John Hurt sur un scenario passionnant, mais au final pas si extraordinaire, de la Iglesia reussit son coup grâce à un rythme entrainant et une ambiance glauque (et d'avoir eu la bonne idée d'embaucher la jolie Leonor Watling).
Et donc son prochain film, c'est Blake et Mortimer... Vivement !
A L'OUEST, RIEN DE NOUVEAU
3 h 10 pour Yuma (3:10 to Yuma) de James Mangold
James Mangold, c'est un mec doué. C'est quand même lui qui a fait découvrir Johnny Cash à toute une génération (Walk the Line), et c'est lui qui a offert à Stallone son plus beau rôle dans les années 90 (Copland). Dommage, donc, qu'un type aussi talentueux soit tombé dans cette mode de remaker tous les films dits classiques.
Premièrement, j'ai pas vu l'original, donc je peux rien dire de ce côté là, même si j'ai entendu qu'il s'agit d'un chef-d'oeuvre total, exemple type de mise en scène épurée et veritable modèle de rythme.
Deuxièmement, l'idée de voir Russell Crowe et Christian Bale s'affronter dans ce qui s'annonçait comme le prolongement du renouveau du western après le Open Range de Costner avait tout d'alléchant, mais au final, on se fait un peu chier, même si l'ambiance "grand ouest" est bien là (principalement grâce à la musique).
Rien de bien transcendant, donc, on passe 2 h sans prendre réellement de plaisir (en plus dans la salle y avait un gros couillon qui passait son temps à secouer son sachet plastique dans tous les sens, genre il pouvait pas le poser à coté de lui... ça aide pas vraiment à rentrer dans le film). Dommage, donc (à noter que le film a tout de même le mérite de confirmer le talent du blondinet dont j'oublie constament le nom (le type qui joue le méchant dans Otage, Angel dans X-Men 3 et le timbré au début de 30 jours de nuit)...).
3 h 10 pour Yuma (3:10 to Yuma) de James Mangold
James Mangold, c'est un mec doué. C'est quand même lui qui a fait découvrir Johnny Cash à toute une génération (Walk the Line), et c'est lui qui a offert à Stallone son plus beau rôle dans les années 90 (Copland). Dommage, donc, qu'un type aussi talentueux soit tombé dans cette mode de remaker tous les films dits classiques.
Premièrement, j'ai pas vu l'original, donc je peux rien dire de ce côté là, même si j'ai entendu qu'il s'agit d'un chef-d'oeuvre total, exemple type de mise en scène épurée et veritable modèle de rythme.
Deuxièmement, l'idée de voir Russell Crowe et Christian Bale s'affronter dans ce qui s'annonçait comme le prolongement du renouveau du western après le Open Range de Costner avait tout d'alléchant, mais au final, on se fait un peu chier, même si l'ambiance "grand ouest" est bien là (principalement grâce à la musique).
Rien de bien transcendant, donc, on passe 2 h sans prendre réellement de plaisir (en plus dans la salle y avait un gros couillon qui passait son temps à secouer son sachet plastique dans tous les sens, genre il pouvait pas le poser à coté de lui... ça aide pas vraiment à rentrer dans le film). Dommage, donc (à noter que le film a tout de même le mérite de confirmer le talent du blondinet dont j'oublie constament le nom (le type qui joue le méchant dans Otage, Angel dans X-Men 3 et le timbré au début de 30 jours de nuit)...).
LE SAIGNEUR DES AGNEAUX
Black Sheep de Jonathan King
Revu plus d'un an après cette séance mythique au festival de Gerardmer, le film de Jonathan King, fort sympathique au demeurant, souffre malheureusement de ses similitudes avec le premier film de Peter Jackson : Bad Taste. En gros, King reprend la même recette, mais 20 ans après, ben ça manque un peu d'originalité.
Black Sheep de Jonathan King
Revu plus d'un an après cette séance mythique au festival de Gerardmer, le film de Jonathan King, fort sympathique au demeurant, souffre malheureusement de ses similitudes avec le premier film de Peter Jackson : Bad Taste. En gros, King reprend la même recette, mais 20 ans après, ben ça manque un peu d'originalité.
Pur film de festival, le film passe moins bien lors d'une seconde vision surtout lorsque le public est moins receptif (en clair à Gerardmer, tout le monde était dedans et il y avait une ambiance de folie, ici, déjà on était dans la salle 5 du Star St Ex et elle était au 3/4 vide...) et que, bah, y'a plus d'effet de surprise...
Jusqu'ici, dans ma tête, le film était une petite bombe, maintenant c'est plus qu'un film sympa, sans plus. Dommage.
Inscription à :
Commentaires (Atom)