Dans mon innocente quête de savoir et de culture, j'ai enfin eu l'occasion de voir cette enorme tuerie qu'est Conan le Barbare de John Milius, avec notre gouverneur préféré, Arnold Schwarzenegger.
Dans un de ses premiers rôles, l'ami Arnold fait deja preuve d'un talent certain pour rire comme un maniaque quand il est à 2 doigts de mourir, montrer ses muscles sans que ce soit justifier et faire l'amour à la première venue (le cul et l'heroic fantaisy ne son en fait qu'un seul et même genre, j'ai pu le constater recemment dans le manga Berserk), le tout avec un accent qui enterre Jeremy Irons dans Die Hard 3. Le tout reste un grand moment de cinema qui vaut largement le detour, Milius etant un putain de realisateur comme on en fait plus.
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Autre grand moment des mythiques années 80, que je me suis matter cette semaine, la trilogie Mad Max de George Miller avec le tout jeune Mel Gibson, pas encore la star que l'on connait aujourd'hui.
Le 1er.
Rien à dire, c'est bien foutu et la description de ce futur pré-apocalyptique est assez réaliste.
Le 2eme.
L'exemple type de la suite qui depasse l'original (avec Le Parrain et probablement d'autres, mais ça me vient pas), même si je trouve que la transition entre le monde du premier et celui-ci est un peu flou.
Le 3eme.
Là, ça se corse. Je pige pas trop le rapport avec l'univers sombre depeint dans les 2 premiers, ici, ça alterne entre un film adulte et violent (le début, la fin) et le film qui cible les kids en quête d'aventure type Hook. Je sais pas si George Miller avait fumé un truc le jour où il a ecrit ça, ou si le soleil australien lui a un peu trop tapé sur la tête... (et Tina Turner est bien mauvaise actrice).
mercredi 5 mars 2008
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