Hairspray d'Adam Shankman : Adaptation de la comédie musicale de Broadway, elle-même adaptée du film eponyme du pape du trash John Waters (et que je n'ai pas vu), Hairspray propose un divertissement simple et efficace, avec John Travolta dans le rôle d'une femme (toujours pas compris pourquoi lui, d'ailleurs). Fun, tout simplement.
Sicko de Michael Moore : Le gros Mike continue de décrédibliser son propre pays en s'attaquant cette fois-ci au système de santé americain, tout en lachant par ci, par là quelques piques au président Bush (c'est bon, on sait tous que c'est un idiot). Au final, on se rend compte qu'on est pas si mal dans notre beau pays...
Le Monde, la Chair et le Diable de Ranald McDougall : Cherchez pas, c'est pas un film qui est sorti le mois dernier, mais plutôt il y a 40 ans, et qui passait à Stras dans le cadre du Spectre film festival... En gros, on prend le même point de départ que Je suis une légende de Richard Matheson (un mec se retrouve tout seul au monde) et on le développe différement. A l'arrivée, c'est dingue ce qu'on peut faire avec 3 acteurs et quelques rues vides...
Le Goût de la Vie de Scott Hicks : Dans la serie les-films-étrangers-c'est-de-la-merde-nous-on-fait-mieux-que-tout-le-monde, l'oncle Sam s'attaque à un film allemand que j'avais vu en cours y'a quelques années de ça... Au final, c'est tout pareil sauf que ça se passe à New-York et que les têtes sont plus familières...
La Vengeance dans la Peau de Paul Greengrass : Après avoir rattrapé mon retard en me tapant à la suite les 2 précédents opus de la saga Bourne, c'est tout impatient que je suis allé voir le dernier volet. Près de 2 h intenses, au scénar bien ficelé et aux scènes d'actions comme je les aime (putain la séquence à Tanger !!!), Paul Greengrass is the man, dommage qu'il ait abandonné Watchmen...
King of California de Michael Cahill : Michael Douglas abandonne ses rôles pas drôles de costard-cravate et retrouve vaguement le ton de ses comédie 80's (aaah, Romancing the Stone ! toute mon enfance !) en jouant un père de famille complètement loufoque, persuadé de trouver un trésor perdu 400 ans auparavant. Très bon film au ton léger, comme savent si bien faire les indépendants du cinoche américain...
Control d'Anton Corbijn : Photographe et clippeur de talent, Anton Corbijn passe au long-metrage en réalisant un biopic de Ian Curtis, chanteur de Joy Division et personnage emblematique de la musique des années 80 (même s'il est mort au tout début). 2 h où on se fait même pas chier malgré la réalisation lente, et surtout, un noir et blanc à tomber par terre...
99 Francs de Jan Kounen : Bon là, j'ai pas encore digéré le truc, je mettrais le message à jour quand j'aurai quelque chose à dire... si je trouve...
1 commentaire:
juste pour dire que HairSpray... woaw ! moi j'ai vraiment adoré ! le style rétro-kitsch c'est ma tasse de thé, d'autant plus quand les musiques sont enjouées et bougeantes. Un blaireau qui se trémoussait sur son siège de ciné, un sourire béat collé sur la face pendant tout le film, de la limonade dans les yeux (ca c pour dire qu'ils pétillaient)(et les chaussettes à l'air qui se trémoussaient elles aussi sur les accoudoirs des sièges de devant) ? Ben c'était moi.
Pis mettez voir la BO dans votre auto-radio (pour ceux qui ont une voiture, hein ^^), et la route devient un plaisir !!
Pour moi une bonne note hein. Oh oui alors, une très bonne note !
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